Au volant de sa vie, il y a des
feux et des sens interdits. Dans l’air pur comme citadine, la rumeur court et
nous dessine une étincelle, un incendie.
A cet instant précis, la petite
brindille prit feu et réchauffa la vaillante pompe du réseau interne de l’être.
La mécanique de chair et de sang se laissa caresser au fluide d’une douce
huile. Les mouvements de la machinerie ne grinçaient plus. Le corps jeune ou
vieux retrouva ainsi une certaine
fluidité. De cette mélodie qui courrait un peu partout, tellement que parfois elle
nous échappait, il ou elle peu importe, craignait le pire et prenait aussi les
courbes de tout être.
Une rumeur parmi les rumeurs
sifflait le bruissement d’une crainte de la peur. Cette lueur, cette étincelle
grésillait au bout du compte, sur le fil en mouvement de vie et d’envies. Tout
être la rangeait au rayon de ses peurs, bien malgré lui. Ce souffle portait,
transportait par la foule. Au-delà du nombre et de l’énergie, cette rumeur ne
l’inquiétait pas.
Il ou elle allait donc prendre la
route en quête d’une vibration différente du cœur, ce moment où tout être se
laisse emporter par l’affolement lié au sentiment. Dans ce voyage en rouge
couleur sang, il ou elle ne s’attendait point à une quête en 5 éléments comme
les doigts de la main, cette tendre poigne rythmée au même pas.
La genèse du périple de tout être
s’écrivit à l’aube du présent ainsi. L’histoire fit donc étape en la terre
fertile de l’humain ordinaire naissant et soufflant vers l’horizon. Il ou elle
sentait au flot de la route, le fruit des saisons, cette raison qui de la
destinée moderne semble tourner en déraison. La folle course des pollutions
poursuivait ainsi sans cesse tout être, le reléguant au second plan. Vite paru
cette vérité alla se consoler en son creusé de profit.
En l’aveuglement de ce capital
sans cesse renforcé, elle tenta de convaincre tout être, de sa vertu encrée en
la modernité. Cette lutte permanente semblait injustifiée aux yeux de tout être ébloui par la tendre
lueur de sa mère nourricière. Au fond, tout être avait bien plus que du respect
pour cette nature, sans laquelle point de
vie et plus encore de la sienne. Il ou elle ressentait tout simplement, ce
sentiment qui fait vibrer le muscle rougeâtre. Mais il ou elle ne prenait guère plus le temps de caresser ce rite
géniteur de couleurs et plus particulièrement de vert. L’union des êtres
s’était ainsi réunie sous cette couleur pour espérer et croire que notre belle
maman de la vie pouvait être encore aimée et respectée.
Au fond, l’essentiel pour tout
être se dessinait en la rondeur d’un virage d’en revenir à la source de ce qui
nous unit à la force bienveillante. Cette flamme en laquelle tout est possible :
le jaillissement de la vie, la continuité fragile d’un gonflement de poitrine
et tout le reste. A force de s’induire la tête de questions, tout être perdait le sens de son existence otage de la
complexité de la moderne attitude. Il ou elle en retournait alors à plus de
simplicité. Une vague, en une expiration,
tout être s’emplit les poumons de cet oxygène. Et là, la source du lâcher prise jaillit comme un ruisseau enfoui dans son corps et plus encore dans le fond de
sa tête. Cette aspiration entraîna il ou elle à se poser le long de la rivière,
à entendre l’eau couler, à voir les canards voguer et à répondre à l’invitation
de l’arbre solide et rassurant, comme une force bienveillante. Tout être prit
donc physiquement la route pour entrer dans une forêt à l’odeur ruisselant liée
en la poésie des 4 saisons. Cette vie interne saisit la sienne et il ou elle se
mit à faire corps dans le bain végétal. En ce seuil du jour, la sève des arbres
majestueux coula et tout être se mit
à manger l’air tranquille au goût de bois. Son regard aussi se nourrit d’une
luminosité colorée par une lumière forestière et ses oreilles se remplirent
d’un silence, d’une quiétude profonde né de la terre. Tout être se sentait à
cette heure, dans une certaine logique
simpliste d’en revenir à ses racines et de se retrouver en soi. Dès lors, Il ou
elle oubliait la fureur de la ville moderne, de la foule qui marche au pas et
de la folie parfois des êtres, mais pas d’être dans l’ici et maintenant. Dans
cette réalité de la société industrialisée, tout être avait été tiraillé entre
ceux qui voulaient tout jeter et les autres souhaitant aller plus avant dans un
trou sans fin apparente. En attendant que ce mot se rapproche de sa réalité
vivante, il ou elle, loin des bruits et des rumeurs de droite ou de gauche,
retrouva une simple aspiration vers l’amour et le verbe qui s’en nourrit. Il ou
elle se sentait en ce fil, tout petit, fragile comme un enfant sorti d’un
ventre ballon et prêt à refleurir, comme le printemps bourgeonne au mois de
Mars.
De cette première étape liée à
son périple, il ou elle avait bien échappé à la rumeur persistante de la perte
d’être dans la vie de lumière.
Dans un second temps, Tout être
s’en retourna à son île, sa vie, sa ville : cette union d’habitations
souvent rassurante où être se multiplie.
Au cœur de cet ensemble, une bâtisse
de pierre se dresse. On la nomme Mairie ornée sur son fronton d’une devise si
souvent répétée tel un slogan : Liberté, Egalité, fraternité.
Il ou elle s’arrêtait sur la dernière
déclinaison de ce trio, ce mot si souvent anéanti par la froideur du temps qui
glisse. Il s’agissait aussi d’une certaine façon, de la peur de soi et de
l’autre. Cet activisme de défiance à croire naviguait en la sève des cœurs
croisés, entremêlés en toute simplicité, balayés parfois et souvent troublés
par l’amitié de peur de ne point s’y retrouver. Et puis, il ou elle avait
tellement besoin d’être compétitif, de foncer dans les bras d’une réussite
forcenée. A cet instant, le regard porté sur l’autre s’en trouvait moins appuyé
et souvent même envolé. Tout être se laissait en quelque sorte, prendre par ne
plus penser. Son horizon prenait la destinée d’un intérieur douillet, enfermé
en son corps et dans son habitat de confort. Les portes se fermaient et tout
être inconnu dans la ville se refermait. Et puis, il y avait aussi cette peur
plus sournoise de l’autre différent. Cet autre, lui-même, se verrouillait
souvent dans une peau sociale rassurante face à l’abîme de la mort. En l’ombre
de la destiné, il ou elle se nourrissait d’une crainte prise dans un tourbillon
de faux semblants et d’oublis. Tout être oubliait donc l’autre, en s’oubliant
soi. Ce soi résidait silencieux dans le choix d’être là et le refus d’être un
Robinson Crusoé.
Dans son envie profonde, il ou
elle souhaitait se nourrir de ce feu qui réchauffe, que l’on désigne sous l’appellation
Amitié. Mais comme à son habitude, la rumeur sournoise sommeillait les bras
ballant, semant à tout va, le vent et
une brise à refroidir les élans de l’échange amical. Ce bruissement noirâtre
cultivait la peur de prendre la main de son cœur pour la donner à l’autre. La
jalousie et la sombre envie nourrissait la fin de l’espoir de se laisser
prendre par le simple partage. Il ou elle voulait souvent être le premier, le plus riche
ou le plus beau. Autour de cette harmonie de la compétition des êtres et de l’être, Tout
être s’enfermait dans la peur de donner
sans retour. Il y avait certes des temples vénérés où l’échange se construisait
dans l’espoir de faire toc toc au paradis de l’au-delà, s’il existe bien.
D’autres défendaient cette valorisation du sentiment fraternel par des idéaux
portés au fer rouge du combat militant. Mais il ou elle, loin de là, ressentait
ce besoin de l’essentiel : un autre ciel, un nouvel horizon. Cette espérance
se berçait au destin souvent utopique, d’une poigne unie à une autre, jusqu’à former une chaîne qui ne
rompt pas au premier coup de vent ou du sort. De ce ressort, il en ressort pour
Tout être, que ce voyage avec l’autre et vers l’autre réside dans la simplicité
de se laisser être soi-même vraiment, en lâchant les oripeaux de la peur et la
sournoise rumeur.
Au sommet de la vibration de
l’instrument sensible de l’humain, Il ou elle croisa le dessin de l’amour, ce
voyage que la rumeur s’évertue à rendre plus difficile, voir impossible.
Tout être se trouvait alors funambule
sur un fil transparent qui l’unissait à un autre, jusqu’alors invisible. En une
rencontre, puis un regard, cet autre devint une lueur nourrit par le sentiment :
cette aspiration, cette accélération du palpitant. Il ou elle peu à peu, ou
plus rapidement ne voyait plus la chair et le sang, mais une rose grandissant
dans le cœur tel un doux fruit de la nature joliment poli par le dessin de la
vie. Et là, la rumeur encore vint et
proposa sa toute première objection. « La rose est belle certes, mais elle
est parsemée d’épines. » On en vient là, directement à la blessure,
l’écorchure, la griffure que l’amour transporte dans son joli soleil, plus ou
moins bienveillant. Tout être eut sous cette vision des choses, légèrement
tendancieuse, un léger recul, mais vraiment très léger. La brise du vent
soufflant dans le cœur était tellement douce et gentil que cette ombre fut vite
oubliée.
Il ou elle se laissait porter,
transporter l’un vers l’autre, à pas plus ou moins grand. Il pouvait aussi y
avoir la foudre qui d’un coup s’abat et pose ses cartes sur la table du festin :
ce fil allongé, élancé pour une destination indéterminée. Cet éclair de génie
de la vie, d’un battement d’aile, d’une accélération du palpitant soudainement
emballé s’envolait en une flèche de
Cupidon.
Dans un tout autre registre, au
sommet identique, tout être se laissait prendre à un jeu tel une valse, un
tango délicat. Ainsi à petit pas, la tendre mélodie d’un noble sentiment vint
se nicher sur la route d’il ou elle. Ceci se dessinait à petits coups de
pinceau.
En premier lieu, il y eu la
rencontre, cet espace temps fragile comme les autres et parfois imprévisible,
la suite ne s’inscrivant pas forcément dans la logique des sentiments. Une
fois, le seuil de ces premiers regards croisés, mots aussi effleurés, le temps
poursuivit l’œuvre de l’amour. Tout être en arc en ciel se laissait emporter en
une déclaration l’un pour l’autre, tel un chemin. Un beau rayon de feu ouvra la
voie d’un grand boom au cœur. Le rythme du balancement dans la poitrine ne fut
plus le même. Il ou elle crut à un incendie ou plus tôt, à une montée de
température, pas de celle qui donne la fièvre et fait mal à la tête. Loin de ce
feu sous un éventuel couvre chef, cet avis de temps plus ou moins maussade ressemblait
plus à la fraîcheur d’une rosée matinale, à cette eau bienveillante qui caresse
le creux des yeux et fait taire la douleur.
Tout être la connaissait bien cette
sournoise brise où se cache le mal du corps ou de l’âme. Mais j’en reviens à
notre affaire, notre belle affaire tel une caresse de printemps où la nature
reprend son manteau vert. Il ou elle tenait donc le repos d’un combat de
battement de tambour, bien loin du premier cri : cette réalité de se
retrouver là, après avoir grandi pas à pas, comme on monte à l’échelle. Et une
marche parvenu à l’âge des grands vient nous saisir et nous porte vers des
chemins de traverse. L’espoir prend forme ainsi, de se bercer à deux dans le
lit d’une rivière, d’y couler la vie arc en ciel et d’en pleurer de joie sans
larme, car cachées à l’intérieur. Et soudainement, à cet instant précis, le visage
totalement détendu de vie s’offre un joli sourire résistant et non planant dans
la rêverie d’un conte de fée. Les « Il était une fois » et tout ce
qui s’en suit, ne sont donc pas de la partie. Il y a plus beau que les
mièvreries de l’oncle Picsou, la réalité
d’un instant de diamant vivant lorsque l’on sait le saisir. Cela s’entend pour
tout être, comme le plaisir d’unir deux corps dans un élan de douceur.
J’en reviens de la sorte, en la
rumeur qui hante encore ce récit. Elle est sournoise, cachée derrière la porte
du destin. Elle nourrit l’idée qu’un rayon
de lumière puisse être plus trouble que l’eau de la Clairefontaine.
Il ou elle ne se permettait pas
de voir surgir sur le devant de la scène cette moisissure rampante et
effrayante d’un abandon de l’innocence, de l’abondance. Malgré tous les espoirs
parfois enfouis, la rumeur en sa noirceur de rage tentait de s’incruster sur la
page. La route de tout être n’en serait
donc que plus belle à l’instant précieux de toucher, caresser un ciel bleu pur
et lumineux.
Cela s’entend dans le plus fluide
ruisseau de l’histoire. Il n’empêche que il ou elle se sentait comme poursuivi
par une ombre, une tache de noirceur sur le dessin à l’encre de sang. Tout être,
de cette peur d’être agripper par l’humanité incertaine, n’osait jeter aucun
œil dans le dos pour filer vers une échappatoire de silence de la pénombre. La
conscience de cette réalité le poursuivait tout de même telle une source
d’images, de violence intime et de guerre assassine. Il ou elle n’en retenait
que l’espoir de s’échapper à l’infini pour plus qu’une rêverie : une lumière
fluide volée à la réalité. De ce
braquage de la destinée entachée d’une humanité perdue, tout être transperçait
l’horizon. La fusion des corps en un instant, de poitrines gonflées, s’avérait telle l’émergence du
premier cri.
Il s’agissait là, de la rencontre
de graines d’humanité, pour qu’en un ventre féminin, germe la fleur de la vie. Tout être plongé
dans cet espoir d’un souffle naissant, pas si soudainement jailli des côtes
humaines, pensait au firmament d’une plénitude absolue. Ce mouvement du corps
penché sur l’âme rugissait d’envie de battre à l’unisson d’un monde externe,
d’un monde étrange et mystérieux loin du chauffage interne et rassurant d’une
mère en mouvement. Alors l’enfant pouvait s’élancer dans un voyage élastique
vers l’air terrestre saupoudré de chaud et de froid.
Les regards illuminés d’il ou
elle, n’en furent que plus scotchés sur le devant de la scène. Le fluide de vie
allait paraître de la sorte, se lancer dans la transparence du son de sa voix
et cela, pour la toute première fois. Cette seconde précise, où naquit ce
bruissement dans le creux de l’oreille étendu en l’air incolore, avait la
saveur pour il comme pour elle, d’une victoire sur la rumeur. J’en retourne
encore à l’ombre noire, celle qui de crainte nous poursuit, comme le sang
stagne au dernier souffle. Mais là, l’enfant en était bien à son premier pas
dans le règne des vivants.
Tout être s’en trouvait tout
surpris : 9 mois à attendre, à voir se tendre la peau du ventre, puis à
l’entendre vivre cet être en gestation. Et maintenant, il était là, peau à peau
avec sa mère en un océan de douceur. Sans aucun doute, la petite plume de vie
en mouvement se trouvait être aussi légère qu’un rayon de soleil et fatiguée
tel un coureur de fond à l’arrivée du marathon. Elle aussi, solitaire de elle
ou il, ressentait encore cette poussée de son corps tel une vibration de
douleurs internes. Ce mouvement s’en était extirpé, détaché dans son émotion
intérieur d’avoir vécu, accompagné la scène, laissant filer une émotion en une
larme de joie.
Il ou elle allait de la sorte,
vivre ensemble l’éclosion d’un être vierge des démons et des arcs en ciel de la
vie. Tout être s’élançait donc ainsi, en un pas de même cadence à l’unisson de
ce poids plume, dont le ruisseau d’en vie allait, peu à peu, construire son
envie au monde, son envie d’être.
La suite de l’aventure ruisselle
pour certains du piège, semble-t-il, de l’enfant naissant, parfois envahissant.
Le couple masculin-féminin y perd son intimité, sa liberté, disent certains.
D’autres se permettent de rajouter le poids de la charge familiale. Dès lors
que se présente à vous, ce rôle naissant d’être parent, l’être né à nouveau à
une responsabilité supplémentaire, tant d’arguments, de rumeurs en charge de susciter
la peur. Et pour couronner le tout, les détracteurs de cet arc en ciel de
s’entendre un jour appeler Maman ou Papa en rajoute une couche, un argument,
l’embrillon du temps à venir. Au pire, les nuits blanches à veiller l’enfant
souffrant d’un mal passager raisonnant en un sommeil amoindri. Et plus encore,
ce cheminement réside en la patience nécessaire d’être disponible au fil des
printemps et de creuser un sillon avec l’enfant grandissant au rythme de la
lumière.
La transcendance s’écrit ainsi à faire
que ce fil conducteur devienne le sein. Cette projection nourrit les pires
détracteurs de la joie de devenir père ou mère en laissant germer le champs
libre à l’unisson. Ils purent de la
sorte, jouer à démolir le rêve éveillé de la gloire lié à la parentalité,
tournée selon leur discours, en cauchemar. Il en fallait malgré tout, beaucoup
plus, pour faire renoncer les millions d’il ou elle, de part le monde, qui nourrissent
ce désir de dessiner une vie nouvelle pour un être bâti de leur chair et leur
sang.
La rumeur de vigueur courrait
donc un peu partout et tout le temps, sur les couches d’une vie, de la vie
simplement. Elle n’en était pas moins visible, que virevoltant sur un fil en funambule,
elle jouait d’un discours au ficelles grosses comme des cordes. Tout être se
trouvait bel et bien encordé de la sorte, pour franchir les montagnes de la
destinée : ces ruisseaux, ces rivières, ces fleuves où résident le cœur,
le sang et le mouvement.
La rumeur de rage ruminait
parfois sa rancœur, d’être réduite et de tendre vers la déchéance, ne plus s’habiller d’un manteau audible. Il
semble toujours que l’ombre multicolore s’étend plus loin que celle unicolore
d’un voile sombre. Malgré ce sens d’un coloriage de l’horizon en arc en ciel,
la peur vibrante au battement de la rumeur subsistait tel un trou noir sans fin
et sans fond. A tout un chacun de savoir, si cette ombre cachée derrière la
lumière de vie doit envahir, faire taire l’envie. La réponse à ce dilemme de
l’attraction sommeillant dans l’abime ne s’inscrit pas comme une évidence
faisant pencher la balance d’un coté ou d’un autre. Notre réalité d’être
souvent tiraillé réside au fond, dans une multiplicité de pistes à suivre, de
réponses à donner. Nous retenons de ceci que ce monde ne se colorie pas qu’en
noir et blanc, ne se résume pas qu’au bien et au mal. La mythologie starifiée
d’une guerre des étoiles s’en trouve ainsi démontée en pièces détachées. Notre
réalité s’articule alors, au pas à pas, tel
un jeu de Lego.
Il ou elle, prisonnier des tiraillements
d’être ici et maintenant, ne s’inquiétait pas au fond de la nuit, se laissant
bercer au fil des jours, de la rumeur. Ainsi la vie n’était pas, comme on l’entend dans les histoires de
prince, de princesse où l’histoire finit bien. Il ou elle les avait bien entendu
enfant. On leur avait tenu à cet instant, un récit aux contours enjolivés. Mais
au fond, que leur disait-on dans ces métaphores de la vie, tout simplement,
qu’elle était belle. Et au final, pourquoi on leur aurait menti ?
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