"J'ai une bonne
nouvelle Mathieu, les parents vont nous faire passer de supers vacances de
Pâques!"
C'était la première fois
que j'allais en Angleterre. Mes parents avaient loué une maison pour les
vacances .
- P'tite crevette c'est
quand qu'on va voir la maison de la terreur?... Hein?
- Je ne sais pas Mathieu
et arrête de m'appeler "p'tite crevette" je m'appelle Lidia je te
signale.
- Ok... Mme Lidia crevette.
Je l'ignora. D'abord je mis toutes mes
affaires dans ma nouvelle chambre puis j'alla dans une boutique a souvenir pour
ramener un souvenir de Londres a ma meilleure amie, c'est un porte clé avec
écrit dessus "I love London ". Je retourna ensuite "chez moi"
et je commença à rédiger une carte postale.
"Chère Amélie en Angleterre c'est trop
bien, mais tu me manques, quand je rentrerais en France je te ramènerais un
petit cadeau".
Le lendemain mon frère recommença à me
harceler pour aller à la maison de la terreur. Et je céda (vous feriez quoi
vous si votre frère était près a vous étrangler pour aller dans un parc
d'attraction ?).
Alors nous partîmes avec de grosses
doudounes en laine car il faisait très froid et mon portable, au cas ou il y
aurait des problèmes. La maison de la terreur était à quelques pâtés de maison
de chez nous. La batisse était noire, très grande, avec très peu de fenêtres et
une grande cour.
- Il doit faire tout noir à l'intérieur
Lidia !
- Oui Mathieu, c'est une vraie maison
hantée. Mais tu sais ce n'est qu'un parc d'attraction il doit y avoir des
lumières et des effets spéciaux.
- Oui si tu le dis...
Nous entrâmes dans la deumeure et je fus
surprise de constater qu'il n'y avait que nous et 5 ou 6 personnes dont 2
guides. Le notre s'appelait Cédric.
"Avant de vous faire visiter, je
voudrais vous dire qu'il n'y a aucun effet spécial, les seuls travaux que nous
avons fait sont, des rénovations mais pas au niveau de la déco, c'est la même
que lorsqu'elle a été construite en 1750 depuis nous n'avons jamais nettoyé
c'est ce que m'a dit mon patron il m'a aussi demandé de vous raconter la
légende du manoir.
Il y a quelques années, le château venait
d'avoir 400 ans alors pour fêter ça, Jérôme, le propriétaire, fît installer un
ascenseur car il se faisait vieux et ne pouvait plus monter les escaliers, sauf
que dans cette maison il s'y passait des choses étranges. Quand il monta dans
l'ascenseur il se passa quelque chose de bizarre et il resta coinçé dans la
chose maudite jusqu'à ce jour.
Une voix demanda :
-Est ce que c'est possible que Jérôme soit
encore en vie ?
-Non, probablement pas. En ce moment il doit
avoir 106 ans.
Je pensais en moi même que la personne qui
avait dit ça était vraiment bête, ce n'est qu'une légende...
Soudain une main m'attrapa et me poussa
derrière une grande commode.
- Hé !... Mais avant que je ne prononce un
autre mot, une main se plaqua sur ma bouche.
- Chut Lidia ! Chuchota mon frère, et il
m'enleva sa main de ma bouche.
- Ok, mais qui y-a-t'il ?
- Je n'ai pas envi de faire la visite avec
le guide.
- Oui moi non plus, en plus on va devoir
assister à une leçon d'histoire sur le manoir.
Alors nous commençâmes a nous éloigner du
groupe en silence, en faisant croire au guide que nous partions et... il nous a
cru.
Il y avait des vieux meubles couverts d'une
épaisse couche de poussière, je souffla dessus. La seule lumière qui nous
éclairait, était un lustre fait entièrement de bougies.Tout était fait d'un
vieux bois qui faisait très rustique, le sol était en béton. Nous traversions
les couloirs déserts nous nous éloignions le plus possible du groupe jusqu'à ce
que nous ne les entendions plus. Puis il y eu une grande porte. Que dis-je, une
immense porte.
- A ton avis, on entre ?
- Bah oui, soit pas bête Mathieu, si on
s'est éloigné du groupe, c'est pour faire la visite tout seuls.
On poussa la porte, rien... Le mécanisme
devait être rouillé par le temps et aussi l'humidité.
- Ca veut pas s'ouvir Lidia... Je crois que
finalement c'était une mauvaise idée ! Le pauvre il était déséspéré.
- Mais non, n'abandonne pas si vite ça ne
fait que 5 minutes que l'on marche.
Soudain quelque chose attira mon attention,
un grand coffre noir avec des bordures en marbre et à côté une grande porte en
bois sculpté.
- Regarde Mathieu, il doit y avoir un pied de biche ou quelque chose comme ça.
Ce n'était pas un pied de biche mais un
grand trousseau de clés avec plein de pièces d'or à côté. Les personnes qui
avaient acheté le manoir devaient être riches ! La monnaie n'était pas l'euro
mais une monnaie bien plus ancienne, celle de l'époque sûrement. J'essaya
presque toutes les clés sur la serrure de la grande porte qui, par chance,
n'était pas rouillée. Au bout de la cinquante troisième clé, la porte s'ouvrit
avec un grincement sinistre. Il y avait une grande salle pour au moins 12
personnes ! Et à côté une petite cuisine avec un robinet je ne savais pas si
l'eau pouvait encore y passer. Il n'y avait pas de fenêtres, les lustres
étaient éteints et il n'y avait pas de chandelles. Il y faisait tout noir.
- Viens Mathieu.
- D'accord mais tu es où ?
- Là, suis le son de ma voix.
J'entendis un "clac", il avait dû
faire tomber une casserole, et un "boum"!
- Aïe! Je me suis pris les pieds dans
quelque chose de mou. Lidia ! allume ton portable, je ne vois rien!
-Ah oui c'est vrai, il était dans ma poche,
je l'avais oublié...
HORREUR !!! Il s'était pris les pieds, pas
sur un objet... Mais sur une personne !
En fait, il s'était pris les pieds dans la
jambe d'un mannequin, comme ceux qui sont dans les magasins. L'objet était
habillé dans la mode des années 1750, une robe noir ou bleu marine, dans la
faible lumière de mon portable on ne voyait pas très bien. Je retourna le
mannequin, de dos elle avait une grande traîne blanche avec trois grands rubans
rose pâle.
- J'ai eu trop peur je croyais que c'était
une vraie personne, pas toi Lidia?
- Oui,c'est vrai que c'était plutôt
réaliste.
- J'ai faim tu crois qu'il y a encore de la
nourriture dans les tiroirs ?
- Regarde-toi, Mathieu tu es un vrai estomac
sur pattes.
Dans le premier tiroir il n'y avait que des
couverts, dans le deuxième il y avait un gros rat qui mangeait des bouts du
mannequin.
- Non il n'y a rien.
- Bon tant pis... Eh ! mais, tu as ton
portable?!
- Oui.
- Tu pourrais appeler les parents pour
qu'ils nous ramènent un goûter ?
- Mathieu, tu ferais tout pour manger
quelques gâteaux !
Je composa leur numéro, or je ne pouvais pas
les appeler car il n'y avait pas de réseau.
- Il n'y a pas de réseau, désolé Mathieu, le
goûter devra attendre.
Alors nous sortîmes de la cuisine, à côté il
y avait un grand escalier dont les bordures étaient rongées par les termites.
Les marches grinçaient sous notre poids.
Une fois arrivés en haut de l'escalier, il
eu un grand couloir avec pleins de portes, au fond du couloir il y avait une
immense porte avec écrit dessus "DANGER!! Défense d'entrer, cette sale est
maudite."
- Pfff... C'est du n'importe quoi, elle ne
peut pas être maudite! A ton avis y a quoi derrière la porte? Dit mon petit
frère.
- Mathieu connais-tu cette phrase " la
curiosité est un vilain défaut "?
- Oui, mais je te signale que toi aussi tu
es curieuse et que nous mourrons tous les deux d'envie d'ouvrir cette porte.
- Là tu marques un point. Et si ça se
trouve, ce n'est qu'un placard à balais !
- Ouais, bon je te laisse l'honneur d'ouvrir
cette porte Lidia.
- Tu es un FROUSSARD... Froussard!
- Ch'uis pas un froussard, et si tu veux pas le faire ce sera moi
qui le fera !
- C'est bon, calme toi Mathieu, je vais te l'ouvrir moi ta grande
porte !
Cette porte aussi était fermée.
- Elle est fermée et j'ai laissé les clés dans la cuisine, je
reviens!
Je descendis les marches, entra dans la cuisine, pris les clés,
quand soudain une idée me passa derrière la tête. J'allais lui faire la peur de
sa vie...
Je montai tout doucement les escaliers sur la pointe des pieds et me
cachai derrière une grande commode. De là, je pouvais voir Mathieu qui
s'impatientait.
- Bouhhhhhhhhhhhh !!!!!!
- Lidia c'est toi?
- Bouhhhhhhhhhhhh!!!!!!! Je suis le fantôme du couloir !!!! Bouhhhhh
!!!!!!!!
Il avait une tête apeurée, il voulait aller dans les escaliers pour
se cacher. Quand soudain je l'entendis marcher, puis courir, et au moment où il
passa a côté de la commode, je lui fis...
- BOUH !!!!!!!!
- A l'aide, au secour !!!
- HA ! HA ! HA ! HA !!!! Tu m'as cru ? Hé ! mais c'est quoi ça?
- Non je t'ai pas cru, et ça c'est rien d'abord !
- Oh lala, t'as mouillé ton pantalon !
- Même pas vrai! Bon t'as les clés ?
- Oui.
J'étais au bord d'éclater de rire et lui... de sanglots!
Quand ce fût la bonne clé, la porte s'ouvrit. Ici, il y avait une
grande porte-fenêtre avec un balcon, un lit, une armoire, une glace et une
machine a coudre.
- Ca devait être la chambre de Jérôme, tu sais le propriétaire du
manoir.
- Oui Mathieu, ça te dirais d'essayer la machine a coudre ?
- Ouais, sauf que ça m'étonnerais quelle marche encore et je ne sais
pas comment faire.
- Moi si, j'ai vu un documentaire dessus.
- Bah vas y, moi je vais fouiller dans l'armoire.
- D'accord Mathieu.
L'armoire était en bois avec des animaux gravés dessus. Il l'ouvrit,
à l'intérieur il y avait des vêtements très très anciens.
- Regarde ce que j'ai trouvé Lidia, plein de vêtements ! Moi je vais
les essayer!
- Ouais!!!!
Une fois revêtu, il se regarda dans la glace.
- J'ai l'impression que tu as remonté dans le temps et que t'es
retourné aux temps modernes ! C'est fou Mathieu, on a bien fait de faire la
visite tous seuls!
- Ouais, mais j'ai l'air d'être un gros snob !
Le reflet était plutôt laid, mon frère avait un haut noir trop grand
pour lui avec une sorte de foulard blanc a l'intérieur. Son pantalon était
marron, mais ressemblait a une jupe, puis il trouva une perruque grise avec des
rubans rouges.
- Je suis ridicule ! Bon maintenant c'est à toi de te ridiculiser.
- Non, attend bouge pas je te prends en photo !
- Non ! Allez enfile tes vêtements !
- Alors là je dis NON ! J'ai pas envi de ressembler à
Marie-Antoinette. J'ai vu ce que ça faisait sur le mannequin et c'est très
moche !
- Oui, mais pourquoi y avait t'il un mannequin dans la cuisine ?
- Bah... Rassemble tous les indices.
- Mannequin ! Fit Mathieu.
- Machine à coudre.Dis-je.
- Et pièces d'or ! Dis Mathieu.
- Mais oui bien sûr ! Il devait être un grand couturier, en vendant
ses créations il devait se faire beaucoup d'argent ! C'est pour ça qu'il y
avait des pièces d'or ! M'exclamais-je.
- Bah oui, finalement t'as peut-être hérité de mon intelligence ?
- Rêve pas Mathieu c'est moi ta grande soeur et je peux te jurer que
t'as pas hérité de MON intelligence! Dis-je modestement.
Tout à coup la porte fenêtre claqua dans un bruit épouvantable, il
avait dû y avoir une grande raffale de vent ! Et là maintenant il pleuvait, un
cyclone se préparait. Les meubles glissaient et une chaise faillit m'arriver
dans la tête. Je l'esciva de quelques centimètres, mais Mathieu, manque de
chance, en pris une en plein dans le tibia.
Le vent soufflait beaucoup trop fort à notre goût, il fallait
impérativement fermer la porte-fenêtre sinon on allait être dans l'oeil du
cyclone. Nos pieds ne touchaient presque plus le sol. Le vent faisait un bruit
épouvantable, on pouvait même discerner le son de plusieurs voix apeurées qui
venaient d'en bas, ils étaient beaucoup plus protégés que nous.
- Lidia, j'ai peur et j'ai mal il faut fermer la fenêtre !
- C'est ce que j'essaie de faire !
Il fallait crier pour se faire entendre. Et maintenant il fallait
s'acrocher aux rebords du lit si on ne voulait pas se faire aspirer. Mais le
lit aussi commençait à glisser, or, ou plutôt par chance, il était trop grand
et ne pouvait pas sortir de la chambre. Quand il fût à la même hauteur que la
porte-fenêtre, avec Mathieu on la ferma tous les deux en même temps.
- Ouf, on a eu chaud ! Dis Mathieu.
- Oui je ne veux plus jamais revivre ça ! Lui répondis-je.
- Tout pareil!
Grizzzzzzz,grizzzzzzz,grizzzzzzzz.....
- Lidia c'est toi qui fait ce bruit ?
- Non je crois que c'est au dessus de nous.
Le bruit venait du lustre en bougies, avec le vent qu'il y avait eu,
il avait été fragilisé et maintenant il allait tomber !!!
Une bougie tomba sur le lit mais c'était loin d'être fini, car
maintenant il pleuvait... des bougies !!!!
- A l'aide, au secours ! On va brûler !
Il ne restait plus qu'une bougie sur le lustre, et le lustre tomba
pile devant la porte.
La porte s'enflamma.
- Lidia, il faut sortir d'ici ! On va mourir !
Il pleura a chaudes larmes (sans mauvais jeu de mots).
- Notre seule chance est la porte fenêtre, mais il faut se dépêcher
avant que le rideau ne
s'enflamme !
Nous courions tout en évitant les flammes, quand soudain, au moment
ou Mathieu allait ouvrir la porte-fenêtre pour sortir, le rideau maintenant
recouvert de flammes lui tomba dessus.
- Mathieu ! NON !!! Je pleurais j'appelais
au secours, mais personne ne pouvais nous entendre, c'était la fin.
Puis le rideaux se souleva, il avait eu le
reflexe de se protéger avec son avant bras. Je n'y croyais pas, il était encore
en vie!!! Mais maintenant il avait sa paume de main droite brûlée.
- Lidia.*Il toussa*. Ca me brûle !
- Viens, allez, il ne faut pas que tu restes
trop longtemps dans la fumée, je te rappelle que tu es asthmatique. Allez, lui
dis-je tendrement.
Il sauta par dessus la porte-fenêtre avec
grande peine. Dehors il pleuvait, la tempête s'était calmée et ça faisait un
bien fou à Mathieu. Il me montra sa main, il avait une brûlure, sa main était
toute rouge.
- Ca va Mathieu, tu veux qu'on rentre?
- Oui, mais par où on va passer ?
- J'ai ma petite idée, mais avant est-ce-que
tu penses que tu pourrais faire un petit détour ?
- Oui, je suppose Lidia.
- Super, alors on va sauter du balcon, il
est au dessus de la cour et il y a des arbustes, alors si on a un peu de chance
on attérira peut-être sur l'un d'entre eux.
- J'ai peur d'attérir sur mon bras tu crois
que je pourrais plutôt aller sur ton dos ?
- Arrête de faire ta chochote Mathieu,
ch'uis sûre que tu vas avoir de la chance (pour une fois).
- Bon d'accord.
- Allez, à trois on saute. D'accord Mathieu
?
- Oui, un.
- Deux.
- Trois!
Mathieu tomba sur un groseiller et moi sur
un parterre de tulipe.
- AÏE! J'ai le derrière tout endolori
!M'exclamais-je.
- Super, pour une fois j'ai de la chance !Me
répondit Mathieu en souriant.
Puis j'ai été soudain prise d'un très grand
stress.
- Ho ! Ho ! Je crois que mon portable est
cassé, je l'avais mis dans la poche de derrière.
- Bon là il faut vraiment partir, le soleil
se couche et je viens de me souvenir que les parents nous avaient donné
rendez-vous à 15 H devant l'accueil !
- Bah tu vois quand tu veux tu peux être
plus sérieux que moi ! La première chose que je fis, fût d'appeler les parents,
heureusement mon portable n'était pas cassé.
- Ils doivent se faire un sang d'encre !
- Oui, holala je suis trop inquiète Mathieu,
à cette heure ci, ils ont peut-être déjà alerté la police pour nous rechercher
!
- Vite !!!
Soudain j'entendis un "tip-tip",
le réseau était revenu ! J'appela les parents pour qu'ils viennent nous
chercher, et ils décrochèrent.
- Enfin, j'espère qu'ils vont vite venir
nous chercher, je meurs de faim ! Dis Mathieu.
Je raccrocha.
- Ils viennent dans cinq minutes, je les ai appelé
à temps, ils étaient déjà au commissariat.
- Super ! Tu es la meilleure Lidia !
Une fois à l'accueil, nous vîmes arriver les
parents (c'était la première fois que je voyais maman courir).
- Les enfants ! Cria-t-elle.
- Vous nous avez fait un sang d'encre ! Dit
mon père.
- Mathieu c'est quoi le trou dans ton
nouveau jean's ? Et pourquoi ta main est-elle brûlée ?
- C'est bon chérie, ils sont là, eux aussi
ont dû avoir peur, alors arrête de les harceler de questions on en parlera à la
maison d'accord ?
-Oui tu as raison mais tu comprends, c'est
l'instinct maternel.
Alors nous partîmes heureux et sur la route
on croisa un camion de pompiers qui s'arrêta devant le manoir. Avec Mathieu on
leur expliqua tout, puis mon père voulu nous dire quelque chose.
- Alors voilà, j'ai une bonne nouvelle à
vous annoncer. J'ai eu mutation professionelle, et je ne peux pas la refuser.
Alors nous allons emménager à Londres !
- Super papa ! Mais où va t'on emménager ?
- C'est pas ça qui est le plus important
Mathieu, répondis-je,mais c'est quand est ce que l'on va voir nos amis ?
- Déjà on ira toutes les vacances en France,
et ta mère et moi avons trouvé la maison PARFAITE !
- Nous allons emménager à deux pas du
manoir, et par chance, mon travail m'offre des places pour aller à la maison de
la terreur tous les dimanches, et des cours d'anglais !
- Super! ( Je ne leur ai pas dit que je ne
voulais plus jamais y mettre les pieds ).
- Chouette mais on est obligé que se soit la
maison de la terreur ?
- Oui Mathieu, en fait, c'est moi le nouveau
patron du manoir. Vous ne voudriez pas me faire de peine ?
- Non...Nous répondîmes en choeur avec
Mathieu.
Nous n'avions pas tout raconté à papa et
maman, tous les méchants imprévus, comme si ils
n'étaient jamais arrivé.
Fin...
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