samedi 3 mai 2014

Au volant de sa vie

Au volant de sa vie, il y a des feux et des sens interdits. Dans l’air pur comme citadine, la rumeur court et nous dessine une étincelle, un incendie.
A cet instant précis, la petite brindille prit feu et réchauffa la vaillante pompe du réseau interne de l’être. La mécanique de chair et de sang se laissa caresser au fluide d’une douce huile. Les mouvements de la machinerie ne grinçaient plus. Le corps jeune ou vieux retrouva ainsi  une certaine fluidité. De cette mélodie qui courrait un peu partout, tellement que parfois elle nous échappait, il ou elle peu importe, craignait le pire et prenait aussi les courbes de tout être.
Une rumeur parmi les rumeurs sifflait le bruissement d’une crainte de la peur. Cette lueur, cette étincelle grésillait au bout du compte, sur le fil en mouvement de vie et d’envies. Tout être la rangeait au rayon de ses peurs, bien malgré lui. Ce souffle portait, transportait par la foule. Au-delà du nombre et de l’énergie, cette rumeur ne l’inquiétait pas.
Il ou elle allait donc prendre la route en quête d’une vibration différente du cœur, ce moment où tout être se laisse emporter par l’affolement lié au sentiment. Dans ce voyage en rouge couleur sang, il ou elle ne s’attendait point à une quête en 5 éléments comme les doigts de la main, cette tendre poigne rythmée au même pas.
La genèse du périple de tout être s’écrivit à l’aube du présent ainsi. L’histoire fit donc étape en la terre fertile de l’humain ordinaire naissant et soufflant vers l’horizon. Il ou elle sentait au flot de la route, le fruit des saisons, cette raison qui de la destinée moderne semble tourner en déraison. La folle course des pollutions poursuivait ainsi sans cesse tout être, le reléguant au second plan. Vite paru cette vérité alla se consoler en son creusé de profit.
En l’aveuglement de ce capital sans cesse renforcé, elle tenta de convaincre tout être, de sa vertu encrée en la modernité. Cette lutte permanente semblait injustifiée  aux yeux de tout être ébloui par la tendre lueur de sa mère nourricière. Au fond, tout être avait bien plus que du respect pour cette nature, sans laquelle  point de vie et plus encore de la sienne. Il ou elle ressentait tout simplement, ce sentiment qui fait vibrer le muscle rougeâtre. Mais il ou elle ne prenait  guère plus le temps de caresser ce rite géniteur de couleurs et plus particulièrement de vert. L’union des êtres s’était ainsi réunie sous cette couleur pour espérer et croire que notre belle maman de la vie pouvait être encore aimée et respectée.
Au fond, l’essentiel pour tout être se dessinait en la rondeur d’un virage d’en revenir à la source de ce qui nous unit à la force bienveillante. Cette flamme en laquelle tout est possible : le jaillissement de la vie, la continuité fragile d’un gonflement de poitrine et tout le reste. A force de s’induire la tête de questions, tout être  perdait le sens de son existence otage de la complexité de la moderne attitude. Il ou elle en retournait alors à plus de simplicité. Une vague,  en une expiration, tout être s’emplit les poumons de cet oxygène. Et là, la source du lâcher prise jaillit comme un ruisseau enfoui dans son corps et plus encore dans le fond de sa tête. Cette aspiration entraîna il ou elle à se poser le long de la rivière, à entendre l’eau couler, à voir les canards voguer et à répondre à l’invitation de l’arbre solide et rassurant, comme une force bienveillante. Tout être prit donc physiquement la route pour entrer dans une forêt à l’odeur ruisselant liée en la poésie des 4 saisons. Cette vie interne saisit la sienne et il ou elle se mit à faire corps dans le bain végétal. En ce seuil du jour, la sève des arbres majestueux coula et tout être se mit à manger l’air tranquille au goût de bois. Son regard aussi se nourrit d’une luminosité colorée par une lumière forestière et ses oreilles se remplirent d’un silence, d’une quiétude profonde né de la terre. Tout être se sentait à cette heure,  dans une certaine logique simpliste d’en revenir à ses racines et de se retrouver en soi. Dès lors, Il ou elle oubliait la fureur de la ville moderne, de la foule qui marche au pas et de la folie parfois des êtres, mais pas d’être dans l’ici et maintenant. Dans cette réalité de la société industrialisée, tout être avait été tiraillé entre ceux qui voulaient tout jeter et les autres souhaitant aller plus avant dans un trou sans fin apparente. En attendant que ce mot se rapproche de sa réalité vivante, il ou elle, loin des bruits et des rumeurs de droite ou de gauche, retrouva une simple aspiration vers l’amour et le verbe qui s’en nourrit. Il ou elle se sentait en ce fil, tout petit, fragile comme un enfant sorti d’un ventre ballon et prêt à refleurir, comme le printemps bourgeonne au mois de Mars.
De cette première étape liée à son périple, il ou elle avait bien échappé à la rumeur persistante de la perte d’être dans la vie de lumière.
Dans un second temps, Tout être s’en retourna à son île, sa vie, sa ville : cette union d’habitations souvent rassurante où être se multiplie.
Au cœur de cet ensemble, une bâtisse de pierre se dresse. On la nomme Mairie ornée sur son fronton d’une devise si souvent répétée tel un slogan : Liberté, Egalité, fraternité.
Il ou elle s’arrêtait sur la dernière déclinaison de ce trio, ce mot si souvent anéanti par la froideur du temps qui glisse. Il s’agissait aussi d’une certaine façon, de la peur de soi et de l’autre. Cet activisme de défiance à croire naviguait en la sève des cœurs croisés, entremêlés en toute simplicité, balayés parfois et souvent troublés par l’amitié de peur de ne point s’y retrouver. Et puis, il ou elle avait tellement besoin d’être compétitif, de foncer dans les bras d’une réussite forcenée. A cet instant, le regard porté sur l’autre s’en trouvait moins appuyé et souvent même envolé. Tout être se laissait en quelque sorte, prendre par ne plus penser. Son horizon prenait la destinée d’un intérieur douillet, enfermé en son corps et dans son habitat de confort. Les portes se fermaient et tout être inconnu dans la ville se refermait. Et puis, il y avait aussi cette peur plus sournoise de l’autre différent. Cet autre, lui-même, se verrouillait souvent dans une peau sociale rassurante face à l’abîme de la mort. En l’ombre de la destiné, il ou elle se nourrissait d’une crainte prise dans un tourbillon de faux semblants et d’oublis. Tout être oubliait donc l’autre, en s’oubliant soi. Ce soi résidait silencieux dans le choix d’être là et le refus d’être un Robinson Crusoé.
Dans son envie profonde, il ou elle souhaitait se nourrir de ce feu qui réchauffe, que l’on désigne sous l’appellation Amitié. Mais comme à son habitude, la rumeur sournoise sommeillait les bras ballant, semant à tout va,  le vent et une brise à refroidir les élans de l’échange amical. Ce bruissement noirâtre cultivait la peur de prendre la main de son cœur pour la donner à l’autre. La jalousie et la sombre envie nourrissait la fin de l’espoir de se laisser prendre par le simple partage. Il ou elle  voulait souvent être le premier, le plus riche ou le plus beau. Autour de cette harmonie  de la compétition des êtres et de l’être, Tout être  s’enfermait dans la peur de donner sans retour. Il y avait certes des temples vénérés où l’échange se construisait dans l’espoir de faire toc toc au paradis de l’au-delà, s’il existe bien. D’autres défendaient cette valorisation du sentiment fraternel par des idéaux portés au fer rouge du combat militant. Mais il ou elle, loin de là, ressentait ce besoin de l’essentiel : un autre ciel, un nouvel horizon. Cette espérance se berçait au destin souvent utopique, d’une poigne unie  à une autre, jusqu’à former une chaîne qui ne rompt pas au premier coup de vent ou du sort. De ce ressort, il en ressort pour Tout être, que ce voyage avec l’autre et vers l’autre réside dans la simplicité de se laisser être soi-même vraiment, en lâchant les oripeaux de la peur et la sournoise rumeur.
Au sommet de la vibration de l’instrument sensible de l’humain, Il ou elle croisa le dessin de l’amour, ce voyage que la rumeur s’évertue à rendre plus difficile, voir impossible.
Tout être se trouvait alors funambule sur un fil transparent qui l’unissait à un autre, jusqu’alors invisible. En une rencontre, puis un regard, cet autre devint une lueur nourrit par le sentiment : cette aspiration, cette accélération du palpitant. Il ou elle peu à peu, ou plus rapidement ne voyait plus la chair et le sang, mais une rose grandissant dans le cœur tel un doux fruit de la nature joliment poli par le dessin de la vie. Et là, la rumeur encore  vint et proposa sa toute première objection. « La rose est belle certes, mais elle est parsemée d’épines. » On en vient là, directement à la blessure, l’écorchure, la griffure que l’amour transporte dans son joli soleil, plus ou moins bienveillant. Tout être eut sous cette vision des choses, légèrement tendancieuse, un léger recul, mais vraiment très léger. La brise du vent soufflant dans le cœur était tellement douce et gentil que cette ombre fut vite oubliée.
Il ou elle se laissait porter, transporter l’un vers l’autre, à pas plus ou moins grand. Il pouvait aussi y avoir la foudre qui d’un coup s’abat et pose ses cartes sur la table du festin : ce fil allongé, élancé pour une destination indéterminée. Cet éclair de génie de la vie, d’un battement d’aile, d’une accélération du palpitant soudainement emballé s’envolait  en une flèche de Cupidon.
Dans un tout autre registre, au sommet identique, tout être se laissait prendre à un jeu tel une valse, un tango délicat. Ainsi à petit pas, la tendre mélodie d’un noble sentiment vint se nicher sur la route d’il ou elle. Ceci se dessinait à petits coups de pinceau.
En premier lieu, il y eu la rencontre, cet espace temps fragile comme les autres et parfois imprévisible, la suite ne s’inscrivant pas forcément dans la logique des sentiments. Une fois, le seuil de ces premiers regards croisés, mots aussi effleurés, le temps poursuivit l’œuvre de l’amour. Tout être en arc en ciel se laissait emporter en une déclaration l’un pour l’autre, tel un chemin. Un beau rayon de feu ouvra la voie d’un grand boom au cœur. Le rythme du balancement dans la poitrine ne fut plus le même. Il ou elle crut à un incendie ou plus tôt, à une montée de température, pas de celle qui donne la fièvre et fait mal à la tête. Loin de ce feu sous un éventuel couvre chef, cet avis de temps plus ou moins maussade ressemblait plus à la fraîcheur d’une rosée matinale, à cette eau bienveillante qui caresse le creux des yeux et fait taire la douleur.
Tout être la connaissait bien cette sournoise brise où se cache le mal du corps ou de l’âme. Mais j’en reviens à notre affaire, notre belle affaire tel une caresse de printemps où la nature reprend son manteau vert. Il ou elle tenait donc le repos d’un combat de battement de tambour, bien loin du premier cri : cette réalité de se retrouver là, après avoir grandi pas à pas, comme on monte à l’échelle. Et une marche parvenu à l’âge des grands vient nous saisir et nous porte vers des chemins de traverse. L’espoir prend forme ainsi, de se bercer à deux dans le lit d’une rivière, d’y couler la vie arc en ciel et d’en pleurer de joie sans larme, car cachées à l’intérieur. Et  soudainement, à cet instant précis, le visage totalement détendu de vie s’offre un joli sourire résistant et non planant dans la rêverie d’un conte de fée. Les « Il était une fois » et tout ce qui s’en suit, ne sont donc pas de la partie. Il y a plus beau que les mièvreries  de l’oncle Picsou, la réalité d’un instant de diamant vivant lorsque l’on sait le saisir. Cela s’entend pour tout être, comme le plaisir d’unir deux corps dans un élan de douceur.
J’en reviens de la sorte, en la rumeur qui hante encore ce récit. Elle est sournoise, cachée derrière la porte du destin. Elle nourrit l’idée qu’un  rayon de lumière puisse être plus trouble que l’eau de la Clairefontaine.
Il ou elle ne se permettait pas de voir surgir sur le devant de la scène cette moisissure rampante et effrayante d’un abandon de l’innocence, de l’abondance. Malgré tous les espoirs parfois enfouis, la rumeur en sa noirceur de rage tentait de s’incruster sur la page. La route de  tout être n’en serait donc que plus belle à l’instant précieux de toucher, caresser un ciel bleu pur et lumineux.
Cela s’entend dans le plus fluide ruisseau de l’histoire. Il n’empêche que il ou elle se sentait comme poursuivi par une ombre, une tache de noirceur sur le dessin à l’encre de sang. Tout être, de cette peur d’être agripper par l’humanité incertaine, n’osait jeter aucun œil dans le dos pour filer vers une échappatoire de silence de la pénombre. La conscience de cette réalité le poursuivait tout de même telle une source d’images, de violence intime et de guerre assassine. Il ou elle n’en retenait que l’espoir de s’échapper à l’infini pour plus qu’une rêverie : une lumière fluide volée à la réalité.  De ce braquage de la destinée entachée d’une humanité perdue, tout être transperçait l’horizon. La fusion des corps en un instant, de poitrines  gonflées, s’avérait telle l’émergence du premier cri.
Il s’agissait là, de la rencontre de graines d’humanité, pour qu’en un ventre féminin,  germe la fleur de la vie. Tout être plongé dans cet espoir d’un souffle naissant, pas si soudainement jailli des côtes humaines, pensait au firmament d’une plénitude absolue. Ce mouvement du corps penché sur l’âme rugissait d’envie de battre à l’unisson d’un monde externe, d’un monde étrange et mystérieux loin du chauffage interne et rassurant d’une mère en mouvement. Alors l’enfant pouvait s’élancer dans un voyage élastique vers l’air terrestre saupoudré de chaud et de froid.
Les regards illuminés d’il ou elle, n’en furent que plus scotchés sur le devant de la scène. Le fluide de vie allait paraître de la sorte, se lancer dans la transparence du son de sa voix et cela, pour la toute première fois. Cette seconde précise, où naquit ce bruissement dans le creux de l’oreille étendu en l’air incolore, avait la saveur pour il comme pour elle, d’une victoire sur la rumeur. J’en retourne encore à l’ombre noire, celle qui de crainte nous poursuit, comme le sang stagne au dernier souffle. Mais là, l’enfant en était bien à son premier pas dans le règne des vivants.
Tout être s’en trouvait tout surpris : 9 mois à attendre, à voir se tendre la peau du ventre, puis à l’entendre vivre cet être en gestation. Et maintenant, il était là, peau à peau avec sa mère en un océan de douceur. Sans aucun doute, la petite plume de vie en mouvement se trouvait être aussi légère qu’un rayon de soleil et fatiguée tel un coureur de fond à l’arrivée du marathon. Elle aussi, solitaire de elle ou il, ressentait encore cette poussée de son corps tel une vibration de douleurs internes. Ce mouvement s’en était extirpé, détaché dans son émotion intérieur d’avoir vécu, accompagné la scène, laissant filer une émotion en une larme de joie.
Il ou elle allait de la sorte, vivre ensemble l’éclosion d’un être vierge des démons et des arcs en ciel de la vie. Tout être s’élançait donc ainsi, en un pas de même cadence à l’unisson de ce poids plume, dont le ruisseau d’en vie allait, peu à peu, construire son envie au monde, son envie d’être.
La suite de l’aventure ruisselle pour certains du piège, semble-t-il, de l’enfant naissant, parfois envahissant. Le couple masculin-féminin y perd son intimité, sa liberté, disent certains. D’autres se permettent de rajouter le poids de la charge familiale. Dès lors que se présente à vous, ce rôle naissant d’être parent, l’être né à nouveau à une responsabilité supplémentaire, tant d’arguments, de rumeurs en charge de susciter la peur. Et pour couronner le tout, les détracteurs de cet arc en ciel de s’entendre un jour appeler Maman ou Papa en rajoute une couche, un argument, l’embrillon du temps à venir. Au pire, les nuits blanches à veiller l’enfant souffrant d’un mal passager raisonnant en un sommeil amoindri. Et plus encore, ce cheminement réside en la patience nécessaire d’être disponible au fil des printemps et de creuser un sillon avec l’enfant grandissant au rythme de la lumière.
La transcendance s’écrit ainsi à faire que ce fil conducteur devienne le sein. Cette projection nourrit les pires détracteurs de la joie de devenir père ou mère en laissant germer le champs libre à l’unisson. Ils purent  de la sorte, jouer à démolir le rêve éveillé de la gloire lié à la parentalité, tournée selon leur discours, en cauchemar. Il en fallait malgré tout, beaucoup plus, pour faire renoncer les millions d’il ou elle, de part le monde, qui nourrissent ce désir de dessiner une vie nouvelle pour un être bâti de leur chair et leur sang.
La rumeur de vigueur courrait donc un peu partout et tout le temps, sur les couches d’une vie, de la vie simplement. Elle n’en était pas moins visible, que virevoltant sur un fil en funambule, elle jouait d’un discours au ficelles grosses comme des cordes. Tout être se trouvait bel et bien encordé de la sorte, pour franchir les montagnes de la destinée : ces ruisseaux, ces rivières, ces fleuves où résident le cœur, le sang et le mouvement.
La rumeur de rage ruminait parfois sa rancœur, d’être réduite et de tendre vers la déchéance,  ne plus s’habiller d’un manteau audible. Il semble toujours que l’ombre multicolore s’étend plus loin que celle unicolore d’un voile sombre. Malgré ce sens d’un coloriage de l’horizon en arc en ciel, la peur vibrante au battement de la rumeur subsistait tel un trou noir sans fin et sans fond. A tout un chacun de savoir, si cette ombre cachée derrière la lumière de vie doit envahir, faire taire l’envie. La réponse à ce dilemme de l’attraction sommeillant dans l’abime ne s’inscrit pas comme une évidence faisant pencher la balance d’un coté ou d’un autre. Notre réalité d’être souvent tiraillé réside au fond, dans une multiplicité de pistes à suivre, de réponses à donner. Nous retenons de ceci que ce monde ne se colorie pas qu’en noir et blanc, ne se résume pas qu’au bien et au mal. La mythologie starifiée d’une guerre des étoiles s’en trouve ainsi démontée en pièces détachées. Notre réalité s’articule alors,  au pas à pas, tel un jeu de Lego.
Il ou elle, prisonnier des tiraillements d’être ici et maintenant, ne s’inquiétait pas au fond de la nuit, se laissant bercer au fil des jours, de la rumeur. Ainsi la vie n’était pas,  comme on l’entend dans les histoires de prince, de princesse où l’histoire finit bien. Il ou elle les avait bien entendu enfant. On leur avait tenu à cet instant, un récit aux contours enjolivés. Mais au fond, que leur disait-on dans ces métaphores de la vie, tout simplement, qu’elle était belle. Et au final, pourquoi on leur aurait menti ?

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