vendredi 14 mars 2014

Un peu d'animation ...


Aya de Yopougon, de Marguerite Abouet et Clément Oubrerie
(avec entre autres les voix de : Aïssa Maïga, Tatiana Rojo, Tella Kpomahou etc.)


Fin des années 1970, en Côte d’Ivoire à Yopougon, quartier populaire d’Abidjan. C’est là que vit Aya, 19 ans, une jeune fille sérieuse qui préfère rester étudier à la maison plutôt que de sortir avec ses copines. Aya partage ses journées entre l’école, la famille et ses deux meilleures amies : Adjoua et Bintou, qui ne pensent qu’à aller gazer en douce à la nuit tombée dans les maquis. Les choses se gâtent lorsque qu’Adjoua se retrouve enceinte par mégarde. Que faire ?

Ce film a été créé à partir de la bande dessinée du même nom de Marguerite Abouet et Clément Oubrerie, éditée chez Gallimard en six tomes :


 
Couleur de peau : Miel, de Jung et Laurent Boileau
(avec entre autres les voix de : William Coryn, Christelle Cornil, Jean-Luc Couchard, etc.)
(à partir de 10 ans)

Ils sont 200 000 enfants coréens disséminés à travers le monde depuis la fin de la guerre de Corée.
Né en 1965 à Séoul et adopté en 1971 par une famille belge, Jung est l’un d’entre eux.
Adapté du roman graphique Couleur de peau : Miel, le film revient sur quelques moments clés de la vie de Jung : l’orphelinat, l’arrivée en Belgique, la vie de famille, l’adolescence difficile... Il nous raconte les événements qui l’ont conduit à accepter ses mixités. Le déracinement, l’identité, l’intégration, l’amour maternel, tout comme la famille recomposée et métissée, sont autant de thèmes abordés avec poésie, humour et émotion...
Réalisé dans un étonnant mélange d’images réelles et dessinées, entre présent et souvenirs, utilisant à l’occasion des archives historiques et familiales, "Couleur de peau : Miel" est un récit autobiographique d’animation qui explore des terres nouvelles.
Prix du public au festival du Film d'Animation d'Annecy en 2012.

Ce film est une adaptation de la bande dessinée du même nom, de Jung éditée chez Quadrants en deux volumes :

     
Lettre à Momo, de Hiroyuki Okiura
(avec entre autres les voix de : Karen Miyama, Yûka, Toshiyuki Nishida, etc.)

Trois gouttes d’eau tombent du ciel et rebondissent sur l’épaule de Momo qui tient dans sa main une lettre inachevée écrite par son père, océanographe, disparu en mer. Cette lettre, qui commence par « Chère Momo », est restée blanche. Après ce décès, Ikuko, la mère de Momo, décide de quitter Tokyo avec sa fille et de rejoindre son île natale, l’île de Shio, située dans la mer intérieure de Seto. Les deux femmes vont habiter chez l’oncle et la tante d’Ikuko qui se réjouissent de voir arriver un peu de sang neuf sur leur île vieillissante. La maison de famille n’a pas changé depuis des années. Ikuko rayonne de bonheur à l’idée de la retrouver. Pour elle, ce décor est tout simplement merveilleux ; pour Momo, il est propice à l’ennui d’autant qu’elle n’y connaît encore personne.
Guidée par sa mère pour faire la connaissance des jeunes de l’île et aussitôt prise sous la protection du gentil Yota, Momo ne parvient cependant pas à intégrer la sympathique bande. Le jour où elle est invitée à sauter dans l’eau du haut d’un pont, elle n’y arrive pas. Elle a la tête ailleurs. Elle aimerait savoir ce que son père a voulu lui écrire avant de disparaître. Elle se souvient de la dernière fois où elle s’est disputée avec lui et se sent coupable. Un jour, elle distingue une ombre aux côtés de sa mère. Puis, dans le grenier de la maison, elle découvre que les figures d’un roman illustré ont disparu et elle entend des bruits suspects. Elle prend peur...

Un avant goût avec la bande-annonce :



  
La Planète sauvage, de rené Laloux 
(avec entre autres les voix de : Jean Valmont, Jennifer Drake, Sylvie Lenoir, etc.)
(à partir de 3 ans)

Sur la planète Ygam, vivent des androïdes génats appelés les Draags. Ils élèvent de minuscules êtres humains qu'ils surnomment Oms. Mais un jour, l'Om de la jeune Tiwa se révèle plus intelligent et va déclencher une révolte...
Prix spécial au festival de Cannes de 1973.

La bande annonce du film :



Princesse Mononoké, de Hayao Miyazaki
(avec entre autres les voix de : Yôji Matsuda, Yuriko Ishida, Yûko Tanaka, etc.)

Au XVe siècle, durant l'ère Muromachi, la forêt japonaise, jadis protégée par des animaux géants, se dépeuple à cause de l'homme. Un sanglier transformé en démon dévastateur en sort et attaque le village d'Ashitaka, futur chef du clan Emishi. Touché par le sanglier qu'il a tué, celui-ci est forcé de partir à la recherche du dieu Cerf pour lever la malédiction qui lui gangrène le bras.

La bande-annonce du film : 




Oggy et les cafards (saisons 1 à 3), de Jean-Yves Raimbaud
Il est bleu, il est bon, il est mou. C'est OGGY, le seul chat que le mot " félin " décrit mal. Il serait le plus peinard des matous si, dans sa grande villa, ne s'étaient installés trois cafards. Eux ils sont moches, ils sont bêtes et bien sûr, méchants. C'est rapide, c'est détonnant, c'est hilarant...

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